Le vêtement de travail peut être un outil de protection incontournable contre les intempéries. Il peut d’ailleurs représenter un véritable uniforme fourni gracieusement par l’employeur. Toutefois, cet habit doit respecter des normes particulières. De fait, il fait partie des Équipements de Protection Individuelle ou EPI. Son but est de mettre le travailleur à l’abri des maladies causées par les intempéries pendant son service. En bref, il sécurise sa santé et garantit sa propreté au travail.
Respecter les normes de protection contre les intempéries
Les normes européennes régissent aussi les vêtements de travail. Concrètement, les exigences portées sur ces outils suivent la norme EN 340. En outre, dans un environnement où la température est inférieure à -5°C, l’EPI doit respecter la norme EN 342. Dans ce sens, il assure l’isolation thermique et la perméabilité à l’air. Ces caractéristiques facilitent le travail en plein air. Par ailleurs, si l’employé est exposé au vent et à des températures supérieures à -5°C, son habit de travail doit répondre à la norme EN 343. Dans les deux cas, il doit évidemment permettre une respiration fluide. Ceci dit, suivez ce lien pour tout savoir sur les équipements de protection.
Utiliser des vêtements adaptés au climat
La matière est à prendre en compte dans le choix de son vêtement professionnel. Lorsqu’on doit affronter des intempéries, il faut savoir choisir celle qui s’y adapte le mieux. Contre la pluie par exemple, il faut privilégier une combinaison imperméable en polyester, en élasthanne ou en nylon entre autres. En conséquence, il n’est pas évident de lui trouver des aspects écologiques. Néanmoins, les vêtements professionnels peuvent associer des matériaux limitant les risques d’irritation de la peau. Si votre épiderme est sensible, vous pouvez opter pour un tissu alliant le polyester et le coton biologique. Malgré ce côté bi-matière, vous pourrez profiter de la légèreté et de la résistance de cet équipement anti-pluie.